Au Brésil, une femme aurait été enterrée vivante puis tenté pendant onze jours de sortir de son cercueil, avant de finalement succomber.
A 37 ans, Rosangela est officiellement décédée le 29 janvier d’un choc septique, à en croire son certificat de décès. Enterrée le lendemain dans une commune du nord-est du Brésil, elle aurait pendant onze jours tenté de sortir de son cercueil rapporte le média G1. Ce sont des proches de la défunte qui, le 9 février, ont été alertés par des riverains du cimetière comme Natalina : « Je me suis rendue en face de la tombe et j’ai entendu plusieurs fois taper. J’ai pensé que des enfants jouant par-là me faisaient une blague. Puis j’ai encore entendu gémir deux fois, et plus rien ».
Le corps encore chaud
Le doute a poussé les habitants de la commune a déterré le cercueil à la nuit tombée : « De très nombreuses personnes ont assisté à l’ouverture du cercueil ce soir-là et ont touché le corps de Rosangela. Il n’était pas froid, il était chaud » a détaillé Ana, présente à ce moment-là.
La famille de la défunte n’aurait également constaté que « des blessures aux mains et au front » ainsi que « des traces de lutte » étaient visibles sur son corps. « Des clous se trouvant à l’intérieur du cercueil avaient été en partie desserrés, comme si elle avait tenté de s’échapper » a également précisé la mère de Rosangela.
Une enquête a été ouverte afin de faire la lumière sur les causes réelles du décès de Rosangela. S’il s’avère que l’enterrement a été opéré par erreur, l’enquête devra déterminer l’origine de la faute.
ladepeche.fr