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Regain de violence à Buéa au Cameroun

Au Cameroun, les séparatistes attaque de plus en plus les grande villes alors que ce n’était pas le cas avant.

Au moins 4 personnes ont été tuées à Buea, la capitale de la région Anglophone du sud-ouest Cameroun.

Les séparatistes armées qui ont décrété des journées villes mortes tous les lundis voulaient contraindre les habitants de cette partie a respecte ce mot d’ordre en s’attaquant en pleine journée se sont aux forces de l’ordre positionner dans la ville.

Ils voulaient contraindre les habitants de cette partie du pays a respecter ce mot d’ordre en s’attaquant en pleine journée aux forces de l’ordre positionnés dans la ville.

C’est la toute première fois que cette ville subit une attaque pareille depuis le début de la crise qui secoue les régions anglophones du Cameroun.

Ces attaquent se multiplient alors que le gouvernement entend exécuter des cette semaine son plan d’assistance humanitaire dans ces villes anglophone.

Incendie et coups de feu en l’air

Une marche pacifiqueCopyright de l’imageAFP
Image captionUne marche pacifique

A Bamenda capitale de la région anglophone du Nord ouest, un groupe de séparatistes armées a incendié quatre taxis et plusieurs motos vers Bambui qui est un quartier universitaire.

Des coups de feu ont été tirés en l’air par ces séparatistes pour contraindre les population a fermer boutiques et cesser tout autres activité hier lundi comme tous les lundi, décréter depuis 2016 par les séparatiste journée villes mortes.

Aussi à Buea capitale de la région anglophone du sud Ouest, un autre groupe de séparatistes armées s’est attaquer aux forces de l’ordre en plein centre ville, questions de faire respecter la ville morte.

Les échanges de coups de feu entre ces séparatistes présumés et forces de l’ordre ont causées la mort d’au moins quatre personnes selon des sources concordantes.

Il faut dire que depuis plusieurs jours maintenant les affrontements armés entre force de l’ordre et séparatistes anglophones ont lieu dans le plus souvent dans les grandes métropoles des villes anglophones ce qui n’était pas souvent le cas.

Parfois en journée on voit les hommes armés se réclamant des séparatistes anglophones rôder dans les artères de Bamenda, Kumba, Buea, et autres sans peur au vue et au su de la population, a l’approche des forces de l’ordre ils disparaissent sans laisser de traces.

Peur des populations

Certains habitants déclarent que leurs vie sont en danger s’ils osent les dénoncer.

Ils ont au préalable reçus les menaces d’enlèvements, d’assassinats, et d’incendies de leurs commerces et biens.

Sans bien le vouloir certains habitants de ces régions anglophones ont pour la plupart pris le parti de la cause séparatiste, « par peur des représailles », de l’autre cote comme en témoigne des vidéo et autres images sur les réseaux sociaux, ce sont les populations qui a l’arrivée des séparatistes armés, applaudissent et chantent a l’unisson en faisant le tour de certaines localités.

A l’approche des forces de l’ordre dans l’un ou l’autre cas, les séparatistes disparaissent sans laisser de traces.

« Il suffit qu’une personne se mette à courir pour que tout le monde commence à courir dans toutes les directions. Tout le monde a peur », témoignent les habitants certains de Bamenda.

Les populations ont peur dans les régions anglophonesCopyright de l’imageAFP
Image captionLes populations ont peur dans les régions anglophones

Pour rassurer les populations, il y a un grand renfort des éléments des forces de l’ordre tous les jours.

Ces force de défense camerounaises patrouillent sur les quelques axes routiers qui parfois s’enfoncent dans la forêt dense.

Et se fait attaquer, souvent.

Dans le Sud-Ouest, comme dans le le nord ouest plusieurs membres des forces de sécurité ont été tués depuis novembre 2017 par des séparatistes lors d’attaques isolées.

Les bilans varient au gré des sources, dans un conflit où l’accès indépendant à l’information est «quasi impossible», selon un défenseur des droits de l’homme qui préfèrent rester anonyme.

Aussi, le dialogue prôner par les pouvoir publique, tarde a prendre Corps.

BBC

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