Si les commanditaires de cet acte pensent pouvoir ébranler le mouvement, ils semblent loin d’avoir atteint leur objectif. C’est en tout ce que vient de nous confier Étienne Soropogui, leader politique, membre du FNDC.
« Même pendant la transition, le régime militaire ne s’est pas comporté comme ils le font maintenant. Mais ils sont vraisemblablement paniqués et la panique est un des signes de fin de règne. Ils doivent comprendre que le FNDC est un état d’esprit. Ces petites méthodes honteuses n’intimident personne. Par contre, ces genres de comportement, indignes d’une autorité publique, nous galvanisent. Tous ceux qui, sous le sceau de la puissance publique, commettent des actes criminels, doivent comprendre que tôt ou tard, ils répondront de leurs actes », a-t-il dénoncé.
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