Après des menaces de mort proférées à l’encontre de son ami Singleton, l’artiste bipolaire Takana Zion qui, sans doute, souffre de la shizophrenie, vient de menacer le directeur de publication du site depecheguinée.com.
Les faits…
Pendant la tournée européenne du mouvement ‘’Wonkhai 2020’’, c’est le site depecheguinée qui avait annoncé la tourmente que traversait le collectif depuis Paris. Ensuite, nous avons diffusé les révélations faites par des sources bien informées au sujet des magouilles du leader Takana Zion du mouvement susmentionné. Il s’agit du cas de corruption dont il fait l’objet. Mais aussi le cas de divorce que camouffle sa femme pour rejoindre l’Europe pour cause de violences conjugales qu’elle subirait dans son foyer depuis son union avec Takana Zion.
Les injures de sa femme
Quelques munîtes après la publication dudit article, la femme de Takana Zion Mariame Bangoura via sur son profil Facebook a proféré des injures de tout genre contre le journaliste en commentaires et en appel vocal. Avant de regretter plus tard ces propos pour se résoudre à se plier en quatre et se confondre en excuses à la rédaction. Comme quoi ce qui est dit au sujet du couple n’est pas contraire à la vérité. En écrivant au journaliste inbox de lui pardonné qu’elle était sur ses nerfs, tout en le suppliant de décrocher l’article. Nous lui avons alors proposé d’apporter un démenti à l’information de façon officielle en répondant à nos questions de savoir si elle n’est pas au Maroc, et si son dossier n’était pas déjà engagé à l’ambassade de France au Maroc afin de rejoindre l’hexagone où elle voudrait demander l’asile. Et se mettre à l’abri du rouleau compresseur de son époux. Ce fut silence radio ! La femme de Takana tergiverse et préfère ne plus répondre aux questions du journaliste de notre rédaction.
Les menaces de Takana
Le lundi 5 mars, l’artiste Takana Zion, leader du groupe Black Mafia, passera à son tour, à l’offensive en ces termes : «si tu publies ces informations, tu le regretteras cher», entame Takana Zion. Et de poursuivre : « quand on dit à une personne arrête, et qu’il continue, tu seras le seul responsable de ce qui t’arrive», avait-il menacé, alors que notre rédaction l’a contacté tout simplement pour recouper les informations reçus. En d’autres termes, recueillir sa version des faits. Comme cela se fait par tous les journalistes professionnels.
Et comme tout cela ne suffisait pas, ce mercredi 08 Mars 2018, dans les environs de 10h, Takana écrit à nouveau au journaliste pour lui proférer des menaces (voire capture d’écran des conversations)
Nous tenons, dès lors à prendre à témoins l’opinion nationale et internationale sur tout ce qui arriverait de mal au journaliste Abdoul latif Diallo, ainsi qu’à l’ensemble de ses collègues de la rédaction de depecheguinee.com, qui ne font que leurs travail : celui d’aller chercher les informations à la source qu’ils mettent, avec minutie, à la disposition de ses valeureux lecteurs.
Toutefois, nous gardons notre sérénité et prenons surtout avec beaucoup de sérieux ces menaces de l’artiste TAKANA ZION, leader du groupe de gang Black Mafia. Surtout quand il dit que : «le nom de ton site est déjà à la justice, les militaires…tu t’attaques à plusieurs familles.» (SIC)
Que cet artiste sans vergogne qui pense qu’il pourrait par-là, nous intimider et par ricochet bâillonner les médias, se détrompe !!!
Toutefois, nous nous réservons d’abord de publier les preuves de partialité qui accablent l’artiste Takana .
Abdoul Latif Diallo
